Monday 21 February 2022

"Au Lapin Agile" - Music on the Edge: Chris Caldwell, Susie Hodder Williams and James Boyd, Church of The Holy Trinity, Gidleigh, Sunday 20 February 2022

"Au Lapin Agile"
Guitar: James Boyd  Clarinet: Chris Caldwell
Flute: Susie Hodder Williams
A 'Sunday@6' performance at Holy Trinity Church Gidleigh

Bats in the Belfry!

On Sunday 20 February, guitarist James Boyd travelled through Storm Franklin to join saxophonist Chris Caldwell and flautist Susie Hodder-Williams for an hour 'Au Lapin Agile', reliving the vibrant artistic life of Montmartre in the early twentieth century - in the fifteenth century parish church of The Holy Trinity in Gidleigh, right on the edge of Dartmoor.

In an hour of non-stop entertainment, the trio performed compositions from the time, with readings, and also some specially commissioned modern compositions by friends of the trio. The programme included "Ária Cantilena" from Heitor Villa-Lobos' Bachianas Brasilieras V, with Susie playing Ruth Corrêa's lyrical line on her flute, "Autumn Song" by Stephen Voss and a special suite for solo flute by "Crimson!" collaborator Gwilym Simcock.

The evening's joy ended with a Bach sonata and "Nuages", that fabulous jazz party piece of the 'Quintette du Hot Club de France': these last two a scintillating juxtaposition of styles beautifully arranged for our very special ensemble - with a little ultra-sonic accompaniment from visiting pipistrelles! What a way to while away a cosy hour, while the storm raged outside. Truly 'Music on the Edge'.

Chris and Susie regularly put on these extraordinary musical gatherings, always on a Sunday and always at six o' clock in the evening. The next 'Sunday@6' will be on Sunday 27 March at the same venue. On that evening, an even larger ensemble will assemble for an evening of music entitled "Our Kind of Blue".

That "Au Lapin Agile" programme in full:

Sir Michael Tippett: "The Blue Guitar" part 2/3 "Dreaming" 1984

Wallace Stevens: "A Man with a Blue Guitar" (poem) 1937

Heitor Villa-Lobos: "Bachianas Brasileiras V" Ária (Ruth Corrêa) 1938

Letter to JB, March 2020

Eden Ahbez/Nat King Cole: "Nature Boy" 1948

Letter to SHW, May 20202

Stephen Goss: "The Autumn Song" (for Natalie Klein & Xufei Yang) 2009

Louis MacNiece: "Autumn Journal" (poem) 1938

Gwilym Simcock: "Suite for Solo Flute" (for Susie Hodder Williams) 2021

WH Auden: "If I Could Tell You" (poem) 1940

JS Bach (?CPE Bach/CF Penzel): Flute Sonata in E BWV 1031 1734

Claude Debussy: "Nocturnes" No 1/3 1900 =
Django Reinhardt/Stephane Grapelli"Nuages" 1930

Je m'en vais, j'me porte bien mieux sans toi
Ton souvenir transperce mon sang froid
J'ai envie d'te croire quand tu pleure
Mais plus je te hais moins le temps passe, yeah
Fracturée ta vie à présent n'est qu'une pensée
Mon âme est en guerre, j'aimerai quitter la tranchée
L'ombre de ton corps apparaît sur le plancher
Ton sourire et tes lèvres à mes yeux sont étrangers
J'écris notre histoire, je lis dans ta voix
J'ai peur qu'elle se heurte quand elle pense à moi
J'suis dans des sables mouvants, j'regarde le ciel et j'm'envole
La colère partage ma vie, plus j'm'en veux plus j'suis mauvais
J'suis perdu, j'suis seul dans l'noir
Les battements de cœur sont violents
Elle s'enfuit, la haine prend place
Je n't'apprécie pas vraiment
Sans toi je me sens libre, sans toi je me sens vivre
Je fais face à l'immense nuit,
je demande pardon elle m'a fait sauter dans le vide
Dans les nuages
Dans les nuages
Dans les nuages
Dans les nuages
Dans les nuages
Dans les nuages
Dans les nuages
J'erre dans le blizzard et songe
J'aime quand le climat est sombre
Mon sabre est serti de pierres
L'esprit a fuit la raison
On ne partage pas la même plume, t'es dans la Lune j'suis sur Neptune
On dit qu'on s'aime, on ne s'aime plus
Tu m'as cherché, tu m'as perdu, yeah
Traverse ma douleur c'est un brasier infernal
On n'a pas su me fuir, dans mes bras c'est enfermé
Tes mots sont éphémères, leur valeur éternelle
J'observe mon passé je ne suis bon qu'à faire mal
Sans toi je me sens libre, sans toi je me sens vivre
Je fais face à l'immense nuit, je demande pardon elle m'a fait sauter dans le vide

Dans les nuages
Dans les nuages
Dans les nuages
Dans les nuages
Dans les nuages
Dans les nuages
Dans les nuages